mardi 11 octobre 2016

Recap cours 28/09/2016

— contrairement à Windows, Unix organise les fichiers sous la forme d’une arborescence logique sans les associer à un nom de disque à chaque fois. 

— chemin absolu : un chemin non ambigu pour localiser une ressource dans une arborescence, puisque c’est un chemin qui part de la racine
— chemin relatif : un chemin non absolu pour localiser une ressource, on la localise relativement à l’endroit où l'on se trouve, se dit en termes de répertoire “parent”, par exemple 

Commandes Unix : 
pwd print working directory ; nous affiche le nom du répertoire dans lequel on se trouve
ls list short ; liste des contenus du répertoire dans lequel on se trouve ou celui en argument e.g. ls / (contenu de la racine)
ls -l liste plus détaillée
ls -la le a permet d’afficher les fichiers cachés
cd / la racine
cd ~ répertoire ‘user’
touch crée un fichier ; prend comme argument le nom du fichier que l’on veut créer 
cat affiche le contenu d’un fichier 
echo affiche les arguments sur la sortie standard
wc word count
rm deletes the (non-directory) files specified
rm -R supprime the file hierarchy rooted in each file argument
rm -R / supprime toute l'arborescence 
cp copie le contenu d’un fichier source dans un fichier cible OU le contenu d’un/des fichier(s) source(s) dans un répertoire cible
mv renames a source file to the destination path named by the target OR moves each source file into an existing directory

. le répertoire courant 
.. permet de désigner le répertoire parent
> un mécanisme de redirection de flux de commande ; crée un nouveau fichier à chaque fois et écrase le fichier avec le même nom
>> ajoute les information dans le même fichier (concaténation)
| mécanisme de redirection de flux entre commandes

\  un antislash suivi d’un blanc signifie que le blanc n’est pas significatif, c’est-à-dire qu’il ne sert plus de délimiteur entre les commandes et les arguments. Si l’on veut créer un répertoire ou un fichier dans l’interface ligne en mettent des blancs dans le nom, on met le nom entre double côtes pour ne plus prendre en compte les blancs comme délimiteurs 

-NK

Recap cours 21/09/2016

          Pour se rendre compte du fait que chaque outil a des paramètres différents de calcul de nombre de mots, on a comparé le word count (WC) d’un éditeur de texte du genre Notepad++, d’un logiciel de traitement de texte e.g. Microsoft Word et puis calculé le WC dans l’interface en ligne de commande. On a vu que chacun de ces outils nous donnait un résultat différent. Ceci est dû aux différentes notions de ce que c’est qu’un “mot”. Microsoft Word, par exemple, ne compte pas réellement les mots, mais compte les blancs. Ensuite, différents outils peuvent considérer une chaine de caractères contenant un apostrophe au milieu comme un seul mot ou alors deux mots séparés. Ceci dépend donc de la convention, et dans l’interface en ligne de commande nous pouvons exécuter certaines commandes qui comptent les mots, lignes, caractères et bytes selon ce que l’on veut compter.

wc -c calcul le nombre de bytes
wc -l calcul le nombre de lignes
wc -m calcul le nombre de caractères
wc -w calcul le nombre de mots

-NK